La démocratie est en danger ! retour page d'accueil
Est-ce qu’on peut attendre sans rien faire ?
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Oui, on peut attendre que la situation évolue ou pourrisse: l’ensemble de la jeunesse française va payer les pots cassés ! Cassés par une minorité de révoltés, qui vont chèrement payer dans les temps à venir, sous couvert d'éducation, leur attitude de ces jours-ci !
Il y a gros à parier que la réaction du gouvernement dans les prochains jours
va dépasser en ignominie et en discrimination tout ce qu'il avait déjà pondu.
QUE PEUT-ON FAIRE ?
Parlez à vos voisins, à vos responsables ( d'associations, syndicaux,
politiques, chefs d’entreprises, ...) Rappelez à vos interlocuteurs que les
premiers émeutiers de toutes les révolutions ont été des hors-la-loi (1789,
1848, 1933...). Les émeutes nous paraissent le résultat de bandes de
délinquants, mais c’est parce que nous sommes dans l’histoire entrain de se
faire et nous n’avons pas le recule pour juger de leur devenir.
Ce qui se passe en ce moment n’est la partie émergée de l’iceberg, si on laisse
se développer le vandalisme, sans essayer de le reprendre au bond pour apporter
un autre type de réflexion, nous irons inévitablement vers un système
totalitaire dont l’extrême droite se fera le porte-parole.
Pas de révolution, ( c’est à dire on change et on recommence avec de nouveaux
dirigeants), il nous faut un changement de ligne directrice de société !
Saisissons ensemble l’occasion de dire que nous ne voulons plus de ce
gouvernement ni d’aucun autre « gestionnaire de crise».
ESSAYONS ! De toutes façons, on a de moins en moins à perdre
(moins de retraite, moins de protection sociale, moins de confiance, moins de
pouvoir d'achat, moins de culture, moins d'espoir pour notre avenir et
celui de nos enfants,... tout ça on l’a déjà perdu).
EXIGEONS ! La démission du gouvernement Chirac, son
remplacement par un système plus responsable : celui du partage de la
richesse produite de manière plus équitable ; celui qui garantit une place
pour tous au sien de la société ; avec une répartition des impôts qui
prenne en compte effectivement la richesse de chacun et non un prélèvement
inéquitable basé entre autre sur les biens de consommation, où l’appartenance à
un territoire ; que les villes les plus pauvres bénéficient d’un
reversement par les plus richesses ; qui prend effectivement en compte les
consultations citoyennes et qui les respectent ; qui se préoccupe du bien
être de tous.
Signé Zorro